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Paris fête l'année du Singe

   

PARIS - Les Champs-Elysées se sont habillés de rouge, samedi, pour célébrer, avec deux jours de retard sur le calendrier officiel, le nouvel an chinois sous le signe astrologique du singe.

Plus de 100.000 personnes, selon la préfecture de police de Paris, ont assisté sur les Champs-Elysées à un défilé, qui ouvrait également l'année de la Chine en France, où vivent environ 450.000 Asiatiques dont une majorité d'origine chinoise.

Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a donné en début d'après-midi, en compagnie du maire de Pékin, le coup d'envoi de cette parade écarlate et or de 7.500 figurants et 54 chars, la plus grande organisée en France pour le nouvel an chinois.

Le cortège était conduit par un poisson rouge géant, symbole de bonne année, offert par la ville de Pékin. Le clou du spectacle était un dragon géant de 110 m de long, le plus grand du monde selon l'Association des Chinois résidant en France.

Explosion de cymbales et de tambours ont rythmé les prouesses de 800 acrobates venus de Pékin, applaudis par une foule compacte, en majorité d'origine occidentale et souvent déçue de n'apercevoir que des bribes du spectacle.

Les Parisiens étaient venus en masse admirer le défilé. Pressée par la foule, une personne âgée s'est évanouie en début d'après-midi au Rond-Point des Champs-Elysées.

"C'est une bonne initiative française mais je suis surpris car il y a énormément d'européens dans le défilé", a déclaré M. Deng, touriste pékinois de passage à Paris.

L'office du tourisme de Pékin avait fourni quatre chars, dont un char annonçant la tenue des Jeux Olympiques de 2008 dans la capitale chinoise. Quatre-cinq associations chinoises de Paris et de l'Ile-de-France ont fourni danseurs, jongleurs, pratiquants d'arts martiaux et animateurs de marionnettes traditionnelles géantes.

"Pour un chinois traditionnel, c'est un défilé surprenant et le Nord de la Chine y est plus représenté que le Sud", a noté cependant Xo Li, une jeune Cantonnaise, selon qui de nombreux éléments et divinités de la culture chinoises manquaient à l'appel, malgré la présence de 12 totems géants figurant les signes astrologiques chinois.

Ce défilé a coûté 480.000 euros, dont 210.000 à la charge de la mairie de Paris.

La Tour Eiffel arborera également pour une semaine un éclairage rouge, pour marquer le nouvel an chinois et le 40e anniversaire des relations diplomatiques entre la France et la République populaire de Chine.

Le président Jacques Chirac recevra lundi son homologue chinois, Hu Jintao. Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, aura pour sa part un entretien avec le président chinois mercredi et signera avec lui des accords de coopération.

Loin des Champs-Elysées et de leurs festivités, une centaine de personnes avaient manifesté en fin de matinée près du centre Beaubourg contre les violations des droits de l'homme en Chine.

Ticky Holgado, un "second rôle" incontournable

 

L'acteur Ticky Holgado, mort jeudi à l'âge de 59 ans, était considéré comme l'un des grands seconds rôles du cinéma, après avoir été rocker dans sa jeunesse.

Ancien secrétaire de Claude François puis des Chats sauvages et de Johnny Hallyday, dont il était un ami proche, Ticky Holgados'était lancé à 16 ans dans la musique sous le nom de Ricky James, puis avec un groupe baptisé d'Oc d'Aïl.

Originaire de Toulouse, Ticky Holgado, né Joseph Holgado en 1944, monte à Paris dans les années 1960.

Après une jeunesse mouvementée au cours de laquelle il exerce divers métiers dans le show-biz, il entame vingt ans plus tard une carrière au cinéma grâce au réalisateur de vaudevilles Max Pécas, qui l'engage pour interpréter un gangster dans Belles, blondes et bronzées (1981).

Remarqué pour sa présence et ce qu'on appelle "une gueule", l'acteur enchaîne dès lors les tournages avec les grands réalisateurs de comédies, Claude Zidi (Les Ripoux, 1984), Josiane Balasko (Les Keufs, 1987), Patrice Leconte (Le Mari de la coiffeuse, 1990). Avec Delicatessen (1990) de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro, Ticky Holgado voit son talent de comédien reconnu. Gérard Jugnot écrit pour lui le personnage du clochard que rencontre le cadre au chômage virant SDF (joué par Jugnot lui-même) dans Une époque formidable (1990). Ce rôle vaudra au comédien une consécration populaire.

L'acteur a tourné au total une soixantaine de films, notamment avec Claude Berri, Henri Verneuil, Edouard Molinaro, Gérard Lauzier, Gérard Oury, et plus récemment Claude Lelouch (Hommes, femmes, mode d'emploi,1996), Bertrand Blier (Les Acteurs, 1999), Jean-Pierre Jeunet (Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, 2000).

Il avait été nominé pour le César du meilleur second rôle masculin en 1992 pour Une époque formidable et en 1996 pour Gazon maudit.

Ticky Holgado a également joué au théâtre, notamment dans Tailleurs pour dame avec Jean-Paul Belmondo (1993).

En 1999, il avait publié un single, Je fais ce qui me plaît, puis en 2001 un album de 12 titres, avec son groupe les Clapshooters, pour célébrer ce qu'il appelait le "rock'n drôle".

Serge Lama en mai au hall polyvalent

Les réservations sont ouvertes depuis le 20 décembre à l'Office de tourisme. Pour ceux qui ne veulent pas rater la venue de Serge Lama à Aubusson, il n'est jamais trop tôt...

Organisé par le Lions Club d'Aubusson au profit de ses oeuvres sociales, le concert de Serge Lama est ainsi annoncé pour le 14 mai prochain Il viendra donc ici présenter son nouveau spectacle, dont la tournée devrait débuter en février.

Depuis toujours, Serge Lama promène cette image populaired'un artiste jovial et optimiste. Quel exemple de courage face à l'adversité et de rage de vaincre. Du petit Chauvier au grand Lama, que de luttes, de succès et, finallement, quelle réussite ! Malgré une enfance difficile, un accident qui a failli lui coûter la vie et une traversée du désert, ce chanteur de talent, auteur de la plupart de ses textes, reste aujourd'hui un artiste incontesté. Très présent dans les médias qu'il honore de son rire franc et chaleureux, Serge Lama marque le paysage musical d'éternels succès.

La 50ème Miss France est hotesse de l'air

Pour l'année du jubilé, pas question de changer une formule qui marche. Alors, les téléspectateurs ont eu droit à du classique, rien que du classique, hier soir, lors de la 50e cérémonie d'élection de miss France, retransmise en direct sur TF 1 depuis Deauville (Calvados). A minuit pile, après mille et une séquences féeriques et autant d'appels à voter par SMS, c'est finalement Lætitia Bleger, miss Alsace, qui a été désignée, parmi quarante-six prétendantes puis douze demi-finalistes et enfin cinq finalistes, pour succéder à la Guadeloupéenne Corinne Coman. Comme il se doit, cette hôtesse de l'air de 22 ans, fille de viticulteurs de Saint-Hippolyte (Haut-Rhin), a sacrifié au grand rituel des rituels. Celui de la brusque montée de larmes au moment de la remise de l'écharpe blanche, hommage de la nation à la nouvelle ambassadrice de la grâce hexagonale.

Tradition oblige, c'est Jean-Pierre Foucault qui rempilait au micro pour la huitième année consécutive. En début de soirée, l'animateur avait même - petite innovation - convié Xavier de Fontenay sur scène. Lequel rendait quelques hommages appuyés... aux « enfants de Guy Lux » d'abord, puis à un certain « M. Strang », mystérieux « milliardaire et mécène » asiatique assis au milieu du public. Comprenne qui pourra. Plus tard, sa maman Geneviève faisait une brève apparition sous les lumières. Le temps d'écraser une larme, puis de lâcher à la cantonade un très peu conventionnel : « Comme disait mon grand-père : pleure, tu pisseras moins . » « Sacrée Mme de Fontenay », semblait penser Arthur, plié en quatre sur son fauteuil, au milieu du jury présidé par l'inusable Roger Hanin.

Sinon, peu ou pas de changements dans les subtils ingrédients qui ont fait le charme et le succès des précédentes éditions. Et qui feront sans doute les beaux jours des prochaines. Toujours les mêmes chorégraphies réalisées avec ce joli brin de maladresse, en robes du soir ou sages costumes de bain, sur un fond sonore qui frisait parfois la musique militaire. Toujours ces joues fraîches qui rosissent à la moindre question du gentil Jean-Pierre Foucault. Et toujours la tentation (bien légitime) de faire vibrer la fibre régionale. Du coup, on aurait presque oublié que la soirée était organisée par la multinationale de la télé réalité Endemol, devenue propriétaire du concept et employeur de la famille de Fontenay. Jusqu'au moment où les téléspectateurs ont été gratifiés d'une chanson des élèves de la « Star Academy ». Histoire de leur rappeler que la finale de la troisième saison du fleuron d'Endemol-France, c'est samedi prochain sur TF 1. Autre alchimie, autres moeurs. Mais toujours des fidèles par millions.

Jean-Jacques Debout libre sous bracelet électronique

LE COMPOSITEUR Jean-Jacques Debout est sorti hier de la prison de la Santé (Paris) et a été placé sous surveillance électronique pour effectuer le reste de sa peine pour conduite en état d'ivresse. Le mari de la chanteuse Chantal Goya avait été condamné à la mi-juillet à un an de prison dont trois mois ferme par le tribunal correctionnel de Paris et aussitôt incarcéré au quartier VIP de la Santé. Récidiviste, il avait été contrôlé au volant avec 1,84 g d'alcool dans le sang, une semaine après une annulation de son permis par le même tribunal pour avoir causé un accident en état d'ébriété. Jean-Jacques Debout devra rester environ un mois et demi sous surveillance électronique. Cette mesure, forme d'assignation à résidence réservée aux condamnés à moins d'un an, consiste à porter un bracelet électronique de la taille d'une grosse montre au poignet ou à la cheville. La présence à son domicile est contrôlée via un boîtier.