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Johnny Hallyday annonce sa rupture avec Universal

 

Quarante-deux ans après avoir signé chez Philips, le chanteur remet sa démission au PDG de la filiale française de la multinationale du disque.

Quarante-trois ans de cotisations aux caisses sociales des artistes, quarante-deux ans de fidélité à sa maison de disque  : l'alliance "à l'ancienne" qu'entretenait depuis 1961 Johnny Hallyday avec Philips -  aujourd'hui Mercury, une division d'Universal Music - a volé en éclat le 5  janvier devant le conseil de prud'hommes de Paris. Artiste "maison", dont les comptes ont souvent été renfloués en direct par  sa "major", Johnny Hallyday s'était jusqu'alors démarqué de beaucoup de ses confrères français qui maîtrisent toute la chaîne de production de leurs œuvres, et ne laissent aux industriels du disques que le loisir de les distribuer.

Malgré ses 80  millions de disques vendus depuis 1960, ses 39  disques d'or et 14 de platine, Johnny Hallyday n'avait pas désiré faire cavalier seul. Mais le feuilleton vient de se  terminer par une démission, et un communiqué laconique signé Johnny Hallyday, transmis par son avocat  : "Je vous confirme que j'ai effectivement donné ma démission le 5  janvier dernier à M.  Pascal Nègre, président d'Universal Music, lors de l'audience de conciliation du conseil de prud'hommes de Paris. Cette décision, que j'ai mûrement réfléchie depuis plus de six mois, est exclusivement motivée par l'attitude adoptée par ma maison de disques à mon égard. Je n'ai par ailleurs jamais eu l'intention de produire moi-même mes enregistrements. Je réserve au seul conseil de prud'hommes le soin d'examiner mes demandes et leurs motivations, et n'entend pas faire le moindre communiqué à ce propos."

Il y a plusieurs mois, Johnny Hallyday avait sollicité les conseils d'avocats anglais, dont le premier, proche d'Elton John, n'aurait pas souhaité poursuivre l'affaire. Selon Le Point du 9  janvier, qui révèle la rupture, certains y voient "l'influence néfaste de la belle-famille de Johnny".Mais la grille de lecture est  simpliste. Le héros de la Tournée des stades et son entourage ont su tirer des enseignements du tir groupé subi par les majors du disque depuis la fin des années 1990.

Tandis qu'aux Etats-Unis Courtney Love, veuve Cobain, Prince ou Toni Braxton ont, afin de se libérer de leur maison de disques, déterré une loi californienne limitant la durée du contrat des artistes à sept ans, en France MC  Solaar a créé une jurisprudence en 1997. Après quatre albums publiés chez Poly-dor (Universal Music), le rappeur a saisi le conseil de prud'hommes, le 1er  septembre 1997, au prétexte que l'entreprise "n'avait pas respecté ses engagements". Conseillé par son manager, Daniel Margules, il avait fait admettre qu'un contrat d'artiste était un contrat de salarié à durée indéterminée, susceptible d'être rompu par démission après préavis.

NOMBREUX PROCÈS

Universal Music, que le chanteur estimait coupable d'ingérences artistiques et de négligences graves, avait dû restituer à MC  Solaar les  droits sur ses enregistrements. Passé à la concurrence - chez East West/Warner -, MC  Solaar a par la suite vendu plus de 750  000 albums.

Suivirent le groupe de rock Blankass et le chanteur de raï Khaled, également conseillé par Claude Margules. Depuis, faute de solution alternative, l'interprète de Didi a réintégré le groupe Universal.

En novembre 2003, c'est Michel Sardou qui a attaqué aux prud'hommes le label Trema, qu'il avait contribué à fonder avec son parolier Jacques Revaux. Le chanteur n'avait pas apprécié que Jacques Revaux revende ses parts à Sony. Aux prud'-hommes, il a demandé la transformation de son contrat à durée déterminé (CDD) en contrat à durée indéterminée (CDI) afin de pouvoir démissionner. L'affaire est en appel.

Si les prétextes avancés sont tous artistiques, les observateurs invoquent des raisons financières  : la crise du disque entraîne les majors à  concentrer les budgets marketing sur quelques grandes vedettes internationales au détriment des autres. Parallèlement, tandis que les majors puisent dans les gains des artistes, ces derniers découvrent, Internet aidant, les vertus théoriques des ventes directes.

Doc Gynéco

En grand gastronome de la musique, Le Doc nous a concocté son premier Menu best of. Une sélection aux petits oignons, loin des saveurs édulcorées du fast food académicien, avec au menu ses plus grands tubes, le tout enrichi de duos inédits. Une recette sucrée-salée qui a déjà fait ses preuves.

Volontairement irrévérentieux, Doc Gynéco ne laisse pas indifférent. Si ses textes sont insolents pour les uns, drôles et sexy pour les autres, il pimente depuis quelques années le paysage musical français. Même si on connaît surtout le Doc pour ses prestations remarquées et ses portraits assassins de stars sur le plateau de Marc-Olivier Fogiel, le chanteur reste, malgré sa médiatisation, bien décidé à ne pas plaire à tout le monde. Issu du groupe Ministère Amer tout comme ses compagnons de route, Passi et Stomy Bugsy, le beau métis à la voix de velours a toujours refusé la dictature du politiquement correct. Il a su imposer son style à la fois nonchalant et provocateur, celui d'un Casanova des banlieues aussi intarissable sur le ballon rond que sur les fortes poitrines.

Une image sulfureuse et incontrôlable qui, pour beaucoup, le rapproche de son maître es provocation, Gainsbourg. Plus que ses dérapages verbaux, c'est surtout sur le terrain musical que la comparaison prend tout son sens. Bruno l'artiste a pris, au sein de la planète rap, de véritables risques musicaux, quitte à dérouter ses fans. Né Bruno Beausire, le Doc avait tout pour devenir un aristocrate du rap. À dix-neuf ans, il rejoint le Ministère Amer pour lequel il compose un titre cynique et acide, Autopsie. Grâce à ses mots coup de poing, il tape, entre autres, dans l'oeil d'un Major. Virgin lui propose ainsi un contrat en 1994. Deux ans plus tard, il lance sa Première Consultation avec un titre évocateur, Viens voir le docteur. La thérapie ragga-rap porte ses fruits. Son rap dansant et funky fait un carton.

Liaisons dangereuses

Son single, Né ici, renoue avec ses origines guadeloupéennes qu'il évoque dans un ragga ensoleillé. Dans ses Liaisons dangereuses, le Doc montre qu'il sait aussi jouer avec le feu et les médias, en commettant un duo improbable avec le golden boy controversé Bernard Tapie, ironiquement intitulé C'est beau la vie. En 2002, le Doc se la joue Solitaire dans un album aux accents soul, funky, zouk love. Son Menu best of, clin d’œil à la célèbre chaîne américaine, nous permet aujourd'hui de revisiter ses plus grand tubes en sept ans de carrière, Vanessa, Nirvana, Ma s... à moi, Caramel ou Frotti-Frotta avec en complément de menu trois titres inédits plus trois duos avec Passi, Renaud et Janik. Ca se passe comme ça chez le Doc !

 

Près de 100.000 personnes fêtent à Bruxelles les 10 ans de règne d'Albert II

       

Près de 100.000 personnes, selon la police, ont pris part dans la liesse lundi à Bruxelles aux festivités organisées pour célébrer les dix années de règne du roi Albert II, un anniversaire avancé de quelques jours pour le faire coïncider avec la fête nationale belge.

La famille royale a assisté dans l'après-midi au traditionnel défilé militaire devant le Palais royal de Bruxelles, en compagnie de membres du gouvernement belge récemment investi, avant de prendre un bain de foule dans le parc attenant en compagnie du Premier ministre Guy Verhofstadt.

La joueuse de tennis Justine Henin-Hardenne, vainqueur de Roland-Garros et numéro trois mondiale, a participé à sa façon à l'événement, effectuant son premier vol à bord d'un Alpha Jet de l'armée de l'air. Egalement invitée, Kim Clijsters, deuxième joueuse mondiale, n'a pu en revanche se libérer.

Auparavant, le roi Albert II et la reine Paola avaient assisté lundi matin à un Te Deum dans la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule de Bruxelles, en présence également de la reine Fabiola, veuve du roi Baudouin, frère aîné d'Albert II, auquel ce dernier a succédé en 1993.

Les trois enfants du couple royal ont pris part à des cérémonies similaires dans dans les différentes régions du pays. Le prince héritier Philippe était présent à Namur (Wallonie), sans sa femme Mathilde qui doit accoucher en septembre. Le prince Laurent se trouvait à Eupen près de la frontière allemande avec sa femme Claire. La princesse Astrid s'est rendue à Bruges (Flandres) avec son mari Lorenz.

La journée devait se terminer par un concert devant le palais de justice de Bruxelles et un feu d'artifice.

Dimanche, à l'ouverture des festivités célébrant les 10 ans de règne d'Albert II, le prince Laurent et la princesse Claire avaient fait une apparition remarquée à un bal populaire organisé dans la capitale, volant un temps la vedette aux chanteurs, parmi lesquels figurait Annie Cordy.

Passionné de sports mécaniques, le roi avait pour sa part donné le coup d'envoi d'une »Parade Moto» organisée en son honneur à travers les rues de Bruxelles.

Le mari de Chantal Goya en prison

LE COMPOSITEUR Jean-Jacques Debout, 63 ans, a été condamné samedi à un an de prison, dont trois mois ferme, par le tribunal correctionnel de Paris. Le mari de Chantal Goya a aussitôt été placé en détention au quartier VIP de la Santé. La veille, il avait été contrôlé alors qu'il conduisait la voiture de son épouse avec un taux d'alcoolémie de 1,84 g par litre de sang. Jean-Jacques Debout était sous le coup d'une annulation de permis de conduire, prononcée une semaine auparavant par ce même tribunal, pour avoir causé un accident dans le bois de Boulogne alors qu'il était en état d'ivresse. En octobre 2002, le chanteur, récidiviste, avait déjà fait l'objet d'une suspension de permis de dix mois pour des faits identiques. Sa peine de prison ferme a en outre été assortie d'une obligation de soins médicaux, avec interdiction formelle de fréquenter les débits de boissons.

Patrick Bruel flashé à 201 km/h sur une autoroute

TOURS - Le chanteur Patrick Bruel a été flashé à 201 km/h sur l'autoroute A10 près de Blois (centre) alors qu'il se rendait à Tours pour y démarrer sa tournée d'été, a-t-on appris mercredi auprès de la gendarmerie.

Le chanteur a été contrôlé et arrêté lundi par les gendarmes au péage suivant.

Il a immédiatement reconnu ses torts et accepté le procès-verbal, selon le quotidien régional "La Nouvelle République du Centre-Ouest", qui a révélé l'information mercredi.

Patrick Bruel a pour le moment eu une rétention administrative de son permis de 72 heures, avant que la préfecture ne prenne un arrêté de suspension de permis pouvant aller jusqu'à plusieurs mois.

Il devra ensuite comparaître devant le tribunal correctionnel de Tours.

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 Johnny ouvre une boîte à Montparnasse

Un vieux rêve de Johnny Hallyday va prendre corps, le 1er octobre prochain. Ce jour-là, L'Amnésia sera inaugurée. La future discothèque, dont le rocker sera alors le patron, est actuellement en chantier sous le parvis de la tour Montparnasse, dans le XIVe arrondissement. Le projet a mûri pendant six ans, mené en association avec André Boudou, père de Laetitia, l'épouse du chanteur, et créateur de l'enseigne Amnésia. L'homme d'affaires a ouvert sa première boîte de nuit au Cap-d'Agde en 1984 avant d'exporter le concept fructueux à Miami puis en Corse – ce dernier établissement a été plastiqué il y a deux ans. Après la vente de son club américain en 1997, André Boudou désire revenir à Paris.

«Mais la quête d'un endroit correspondant à nos ambitions a pris du temps, explique-t-il. Nous cherchions un espace immense pour aménager une création pure.» En octobre dernier, le tandem arrête finalement son exploration au sous-sol de la tour Montparnasse, retenu pour sa facilité d'accès et de parking. L'Amnésia parisienne verra le jour sur 1 700 m2, en lieu et place d'une ancienne imprimerie. Seule l'entrée, construite à l'ombre de la tour sur la rue de l'Arrivée, sera visible du parvis.

Le concept Amnésia, né dans la «ville qui abrite les plus belles discothèques du monde, Ibiza», sera là encore transposé. La décoration – «de l'eau et des plantes» – imaginée vingt ans auparavant est toujours d'actualité : des murs blancs hauts de sept mètres, des palmiers, une cascade, une piste de danse centrale où se jetteront son et lumières. Tout autour, des bars et des gradins pouvant accueillir jusqu'à 1 500 personnes.

Johnny Hallyday et André Boudou, dont l'ambition est de «recréer la magie qui régnait autrefois au Palace» ont investi près de cinq millions d'euros pour voir aboutir leur club branché, élitiste mais mélangé. Une clientèle «haut de gamme», panachage de célébrités et de jeunes Parisiens branchés, est attendue aux soirées Amnésia chaque nuit, jusqu'à plus de six heures. Johnny Hallyday, bientôt 60 ans, aujourd'hui de retour de Los Angeles où il préparait ses prochains concerts du Parc des princes est, selon son beau-père, «très concerné» par sa nouvelle carrière.